Avant de s’établir ad vitam aeternam sur un territoire, les PME optent souvent pour une formule plus souple : la domiciliation commerciale. Ou comment attaquer un marché en limitant les coûts.
Développement et croissance d’une
Y aller ou pas ? Tous les dirigeants d’
se posent, un jour, la question de l’ouverture d’un deuxième établissement loin de leurs bases. Seul hic : pour être efficace, un tel projet nécessite à la fois une présence humaine et des locaux ad hoc. Faut-il encore avoir les moyens (financiers) de ses ambitions… Heureusement, aujourd’hui, le développement d’une PME ne se pose plus en ces termes grâce à une formule souple : la domiciliation commerciale.La domiciliation, un premier pas
Né sur le modèle des exportatrices, ce concept permet d’abord de prendre pied dans une ville grâce une adresse physique. La proximité, fut-elle factice, rassure les clients, fournisseurs et partenaires avec lesquels un dirigeant est amené à collaborer. Mais la domiciliation ne s’arrête pas à ce service. De façon ponctuelle, une s peut aussi bénéficier d’un bureau pour les besoins de ses rendez-vous, basculer certains appels vers le secrétariat du centre d’affaires, recevoir du courrier…
Une solution économique et évolutive
Si les contacts avec les partenaires n’aboutissent pas, rien n’oblige le dirigeant à conserver sa base avancée. A contrario, la formule se veut évolutive. Si la présence dans la ville est amenée à être pérenne, un collaborateur de l’
pourra s’établir dans le centre d’affaires et, là aussi, bénéficier de services partagés (fax, secrétariat, photocopieur, tri du courrier…). En résumé, la domiciliation offre des opportunités de développement à toutes les sociétés, quels que soient leurs tailles et projets.